lundi 14 décembre 2009

Music For Pleasure

Je me suis rendu par la suite et non loin de la a une tout autre exposition Cet fois ci l'artiste présenter est un artiste masculin du nom de Ray Richardson d'origine anglaise née dans les années 60 et exposer en se moment a la galerie Alain Blondel.



Je ne m'attendais pas spécialement a voir quelque chose de ce genre la dans cet galerie situer dans un quartier entre guillemet chic de Paris, néanmoins c'est avec joie que j'ai pu prendre la peine d'admirer la dizaine de toiles mises a disposition par la galerie. L'exposition est installée sur 2 étages. Nous avons a faire a des toiles de très grand formats comme a des petits..l'un des aspect intéressant a noter est que la plupart de ses toiles sont de formats italiens. Et c'est d'ailleurs ce qui m'as tout de suite plu visuellement car je n'avais pas l'habitude de rencontrer ce genre de format sur quasi toute une exposition.

Outre l'aspect technique de l'artiste qui maitrise son sujet avec un style vraiment personnel. J'ai vraiment pris la peine d'apprécier l'aspect narratif de l'oeuvre par de la le format des toiles..qui m'as rappeler la bande dessinée. Ce n'est qu'après avoir fais le tour de l'exposition que je découvre son intitulée ''Music For Pleasure''. C'est a cet instant que je compris ce qui rattache la plupart des oeuvres entre elles, la musique,tout l'univers du jazz avec les voitures, les vêtements, ce que dégage les oeuvres par leurs couleurs et la linéarité.

Voila rien de plus a ajouter ci ce n'est que c'est avec une grande surprise que je découvre un artiste que je ne vais pas oublier de si tôt merci Mr Richardson pour ce petit voyage tout en couleur !


Rey

lundi 7 décembre 2009

Smells like Butterflies.

Apres avoir passer un weekend a l'affut de toutes nouvelles expositions ou d'autre déjà dater.. je me suis rendu a celle qui s'intitule : Emanessence. En effet, la galerie L.J Beaubourg exposait non pas pour la première fois, une jeune artiste française (rattachée au mouvement du street art )du nom de Koralie.


Néanmoins de mon cote c'était bien la premiere fois que je me rendais a l'une de ses exposition et cela malgré la connaissance de son travail (par le billet des sites et autres magazines se référant au sujet) ce n'est pas sans mi plaindre que je découvre une belle exposition dans l'ensemble avec : une belle galerie, une belle installation et des oeuvres intéressantes.

Sceptique a l'idée de revoir ce que je connaissais deja visuellement car je ne suis pas particulièrement fan de son style et bien, j'ai pu découvrir un tout autre univers qui reste tout de meme proche de ses créatif de base c'est a dire l'inspiration évidente au japonisme et ceux par l'utilisation quasi répétitif de cet avatar oriental = geishas. Les médiums présent étaient divers ( de la peinture a l'huile au print en passant par collage/montage pour finir par la photographie) et le thème de l'exposition était très bien exploiter.

Elle jouait sur le rapport des odeurs, et tout d'abord sur le champ visuel elle a donc imaginer et habiller ses geisha en papillon puis les a meme classer en différentes sous espèces comme si on se retrouvait dans un laboratoire spécialisé a l'étude des lépidoptères.



La seconde était consacrer a l'un de nos principaux sens qui est l'olfaction. elle a donc imaginer ses propres parfums. Mais la partie la plus captivante fut a mes yeux et a mon odorat celle des l'installation photographique ou étaient accroches des photographies de divers lieu New Yorkais et était dispose juste en dessous un petit flacon qui rappelait le lieu par l'odeur. (Par exemple une boucherie de Soho ect…)

Je conclue donc ce petit topo..cet exposition est une réussite selon moi, j'ai vraiment apprécier le fait qu'elle fasse intervenir le spectateur avec ses propres installation et qu'elle nous fasse voyager non seulement par son univers graphique mais aussi par les photographies de New York. Non en fait, je crois en réalité que c'est la nostalgie qui me prend.NY i love you...


Rdv au 12 rue Commines. Galerie LJ Ouvert du mardi au samedi de 11h - 19h.


REY



lundi 9 novembre 2009

Pia Fries



Après des semaines d'hesitation, voila donc mon morceau de blog à moi. 


Depuis que j'ai remarqué cette exposition rue quimcanpoix, il me semble qu'elle pourrait bien faire l'objet de cet exercice. Ce n'est pas la seul de la rue, j'avais juste avant exploré juste en face (galerie agnes b.) l'univers de ce singulier Matthieu Messiager, une fois bien en condition pour recevoir encore de nouveau langages, un peu sur ma faim face à cette oeuvre très ample et à la difficulté d'atteindre l'insondable logique métaphysique  de son auteur, mais toute fois rasasiée de poésie, je décidais un peu guidée par la necessité d'oeuvrer à mon tour, d'entrer voir Pia Fries.


 L'endroit est vaste, vide, parfaitement blanc (bien sur) et sur deux etages. Les tableaux de meme dimension semblent à premiere vu representer les memes choses, une série du même tableau ,aux allures d'illustration médicale. Fond blanc, avec un collage de parties dechirées de fac similés jaunis qu'on diraient sortis d'un vieux livre repertoriant la faune et la flore avec des images represantant soit des plantes soit des reptiles soit des crustacés etc... mais surtout des papillons. L'autre chose qui impressionne particulierement le regard est fait d'une etrange  matiere en relief, de forme abstraite ou le jeu des couleurs s'inspire directement de l'image preexistante. les deux representations sont liées generalement aussi de maniere physiques. il y a dans la composition une continuité entre ces deux formes malgré la rupture des procédés. cette alliance est souvent accentué par un troisieme procedé qui scelle leurs identité commune. il s'agit en quelque sorte de finitions faites de pochoirs décoratifs (fleurs, motifs..) et de traits de stylo, crayons, feutre... 


Tous les tableaux sont composés de manière harmonieuses ,tout  se passe dans la toile bien que le cadre soit inexistant et que ces bords soient indéfinis, en somme le toile est le support neutre, la page blanche sur laquelle l'artiste va déployer sa chair.  La chose qui dénote dans cette surface c'est que la peinture puisse s'échapper. Elle gagne en puissance en se matérialisant et devient un relief sculpturale créant une interaction prononcé avec le spectateur.  


En effet on est étrangement sollicité par cette matière qui évoque avec force, tour à tour dégout et attraction. Ce relief coloré semble fait de caramel de guimauve prête à etre degusté et en meme temps cela semble etre une éclaboussure aléatoire de matiere fécal. La fascination du paradoxe anime cette force immédiate de l'image.

 

L'ensemble du tableau met en évidence le jeu spontané du peintre avec la couleur qui est très riche et savament orchestré. elle semble jongler avec quelque chose de vivant, et l'impression sur le spectateur créer un lien physique avec le tableau, un lien entre corp et décors. Il s'agit de corps, de nature d'organisme. Cela évoque du viscéral, UN DÉGORGEMENT DE COULEURS ORGANIQUES NATURISTES.  


En sommes, ces représentations allient nourritures et déjections, mutation qui a pour siege le corps dans lequel et par lequel germe la nature. une nature violente, sensuelle, implacable, faite de couleurs qui éclaboussent, de jaillissements aléatoires de substance organique.


L'exposition se déroule jusqu'au 6 Novembre,au 59 rue Quincampoix 75004 Paris, bien sûr,mais je viens de me rendre compte qu'on est le 8,donc c'est mort pour vous!


ps: un moment  interressant, mais c'etait de tout façon, très court , très répetitif, le deuxieme étage ,pas indispensable

 et la video où s'exprimait l'artiste n'expliquait rien ou pas grand chose sinon que la recette de sa peinture inclue parfois du beurre(demi sel ou doux, on ne sait pas elle n'a pas précisé).Ci joint une carte postale souvenir.


Rosane

  


lundi 2 novembre 2009

The other stuff.

Toujours et encore et encore durant mon petit trip / holiday / art / taxi jaune in New York, je me suis rendu dans le quartier dis "underground" de Manhattan called East Village. Las bas, c'est le coin des artistes et on peut y trouver pas mal de bonnes boutiques d'art books..


Ce qui est impressionnant c'est la taille des galeries. D'une part, elle ne sont pas la ou on les attends. La plupart des galeries ou je me suis rendu étaient situer dans un coin assez marrant et atypique, vers des entrepôts, dans des sortes de casernes de pompiers géantes. Elles sont situer majoritairement a la périphérie du centre.



La galerie ou je me suis rendu est une galerie qui me fascinait déjà étant en France car elle y accueil majoritairement des artistes qui représente a mes yeux de vrai coup de coeur visuel.

Encore une petite note d'attention, en me rendant sur les lieux je n'ai pas tout de suite trouve la galerie car elle était situer a l'intérieur d'un building. C'est a dire que dans l'immeuble on avais une galerie a chaque étage. J'ai trouver le concept vraiment sympa.
L'exposition que j'ai vu était juste parfaite. Les deux artistes présent : D Face et Mark Dean Veca que je n'avais vu auparavant que sur des sites et autres blogs d'illustration ont ravi mes petits yeux de novice en la matière. Mais aussi, pouvoir voir d'aussi près leurs travaux était juste vraiment impressionnant.

Bref, que de coup de coeur en cet journée.Voila. tout est dit encore un rêve réaliser!


REY

dimanche 25 octobre 2009

The comeback.


Nous revoilà fidèle au poste pour une seconde année de joie, de bonne humeur et de nouvelles aventures. En parlant de ça, j'ai eu la chance de me rendre au Etats Unis pendant ses vacances.


Il était alors bien évident que mon cher ami "Art" viennent s'inviter aux festivités. Du coup je me suis rendu au MoMa. Malgré un temps assez pluvieux,une attente digne des soldes de Noel et une sécurité Made In America je suis parvenu tant bien que mal a accéder a cet oeuvre Monumentale et aux trésors qu'elle contient.

L'immensité nous envahie. Le musée en lui même est esthétiquement presque parfait. Des escaliers ou des

escalators nous conduisent a travers les 5 big étages du musées. Un étage, une période, une histoire.

Du design a l'art contemporain a l'architecture, survolant l'art video, passant par les classiques de l'Art d'avant garde, ps : une salle consacrer entièrement a Monet. Et voila qu'on débarque sur une autre planète. 2 étages de pures jouissance. Un Roy Lichtenstein par la, un Warhol par ci et un Claes Oldenburg de cet cote.. Tomber nez a nez avec un Basquiat puis un Mondrian, fricoter avec un Van Gogh, pouvoir effleurer un Pollock et, s'extasier devant un Boccioni..

Je ne pourrais jamais plus dire que les Americains n'aiment pas faire les choses en grand.Néanmoins la seule fausse note du parcours est qu'il est vraiment dommage que je n'ai pu accéder a la partie "outside" du musée..de plus je tiens a dire que le prix des Musées américains restent vraiment élevés par rapport aux musées Français mais bon le jeu en vaux peut être la chandelle!


REY.